Ma généalogie : explications
De nombreux choix ont guidé la rédaction des pages qui composent ce site. Aussi, des termes particuliers voire incompréhensibles sont utilisés. Cette page a pour objectif de lever le voile sur les difficultés que l'on peut rencontrer en parcourant ce site. Si malgré tout, certains points restent obscurs, n'hésitez pas à me contacter.
Le contenu de ce site
La généalogie présente sur ce site représente ma généalogie ascendante ainsi que la descendance de cette généalogie ascendante et va même un peu au-delà.
La censure
Sont censurées sur ce site les informations des personnes qui sont nées il y a moins de 90 ans. Avec quelques exceptions néanmoins : je n'ai pas censuré les informations me concernant, et le patronyme de mes ancêtres nés il y a moins de 90 ans n'est pas censuré.
La « numérotation »
La classification des fiches dans une base généalogique requiert
l'usage d'un système de numérotation efficace.
Plusieurs systèmes de numérotation sont utilisés sur le site selon le besoin :
en généalogie ascendante, la numérotation dite de Sosa-Stradonitz est
utilisée. En généalogie descendante, c'est une variante de la numérotation dite de Pelissier
qui est utilisée. Un troisième système de numérotation inédit est utilisé sur ce
site : il s'agit de la numérotation dite ADC (ascendance /
descendance / conjoint).
La numérotation Sosa-Stradonitz (dite Sosa)
Par défaut, je porte le n°1, mon père, le n°2, ma mère le n°3, mon grand-père paternel, le n°4, ma grand-mère paternelle, le n°5, mon grand-père maternel, le n°6, ma grand-mère maternelle, le n°7, le père de mon grand-mère paternel, le n°8, etc... Du fait des mariages plus ou moins consanguins, une personne peut porter plusieurs n° Sosa.
La numérotation Pelissier
A partir d'un ancêtre donné portant un n° Sosa, la numérotation Pelissier de ses enfants consiste en l'ajout à son numéro Sosa d'un chiffre et d'une lettre. Le chiffre est le rang d'union et la lettre représente le rang de naissance pour l'union considérée. Ce système de numérotation est donc beaucoup plus générique que le système de numérotation dit d'Aboville qui ne tient pas compte des cas d'unions multiples.
La numérotation généalogique généralisée dite GADC (Généralisation / Ascendance / Descendance / Conjoint)
Au-delà des numéros Sosa et Pelissier, on peut trouver des identifiants :
- AC : à un numéro Sosa, on associe un identifiant d'union séparé par le symbole égal (=)
- ADC : à un numéro Pelissier, on associe un identifiant d'union séparé par le symbole égal (=)
- ADA : à un numéro Pelissier, on associe un numéro Sosa séparé par le symbole égal (+)
- ADAC : à un numéro ADA, on associe un identifiant d'union séparé par le symbole égal (=)
- GADC : c'est une généralisation complète du système : on combine des identifiants Sosa/Pelissier/Conjoint
Techniquement, l'algorithme permettant de construire cette numérotation généralisée est basée sur un parcours de graphe.
Exemple d'usage : le père d'une épouse d'un arrière-grand oncle porte l'identifiant GADC 26-1c=3+2. C'est donc bien le père (Sosa 2) d'une épouse (=3) d'un fils (Pelissier 1c, donc troisième enfant du premier lit) de mon arrière grand-père (Sosa 26).
Autres systèmes de numérotation
Quelques sites fournissent des informations intéressantes sur les systèmes de numérotation :
La génération
Par pure convention, la génération 1 est affectée au Sosa n°1.
Les parents de Sosa n°1 (donc les Sosa n°2 et n°3) sont de deuxième génération
et ainsi de suite.
En généalogie descendante, il alors possible d'avoir des personnes de génération
zéro ou même négative.
Aussi, puisqu'une personne peut avoir plusieurs n° Sosa, elle peut se voir
affecter plusieurs générations.
La famille proche
Tout le monde connaît les cousins, les oncles et tantes, les neveux et nièces. Les oncles et tantes à la mode de Bretagne sont moins connus, bien que proches.